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Chroniques libres et dessins sur les lieux, les villes, les gens, la famille.

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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 20:49
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14 novembre 2007 3 14 /11 /novembre /2007 07:11



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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 22:49

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8 novembre 2007 4 08 /11 /novembre /2007 23:27

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8 novembre 2007 4 08 /11 /novembre /2007 23:05

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18 octobre 2007 4 18 /10 /octobre /2007 21:41


Il y avait ce mur au crépi fatigué

Il y avait au pied du mur cette fleur éclatante, seule
Il y avait cette fenêtre dans le mur, avec, derrière, des gens qui vivaient, dormaient, mangeaient, s’aimaient, se détestaient, croupissaient, mourraient
Il y avait cette rue où passaient quelques voitures, pressées, métalliques
Il y eut cette femme qui passa, fière, distante, avec un sillage derrière elle.
Mais qu’y avait-il entre moi et ce mur, cette fleur, cette fenêtre, cette rue, cette femme ?
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7 octobre 2007 7 07 /10 /octobre /2007 19:49



Retour à Strasbourg, après de nombreux mois de refus.
Au lieu de déchirer la page, je préfère quand même la tourner.
La ville est magnifique, le temps ensoleillé.
Même la coiffe des alsaciennes prend un air de printemps.
Retrouver la ville, la voir différemment.
Et envisager d'y revenir, plus sereinement.
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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 11:01

 

Pourquoi rêver d'Alger?

Alger, comme une lampe pour un papillon.

Alger, pour moi inconnu, ni algérien, ni pied-noir.

Alger, comme l'attirance d'une femme lointaine, vieillie, mais qu'on aurait pu aimer. Qu'on aurait dû aimer.

Un mystère. Rien, dans ma vie, dans ma famille, mon entourage, ne m'oriente vers Alger.

Et pourtant, le sentiment d'un lien profond, douloureux, secret. Une relation complexe, lassée, mais indéfectible. 

Et, au bout du voyage, quand le sillage du bateau s'estompe, apparait la ville dans le soleil.

Un jour, bientôt, j'irai à Alger, Alger la Blanche. Bientôt.

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28 mai 2007 1 28 /05 /mai /2007 22:30

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26 mai 2007 6 26 /05 /mai /2007 23:39


L'une a nom Louise et l'autre s'appelle Edouard
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